Ici, point de bataille juridique, un simple constat sur les parts des gains réalisés sur la vente en ligne.
Prenons comme exemple le magasin de vente en ligne le plus connu et fourni à l’heure actuelle, iTunes d’Apple. Sur la base d’un morceau vendu 99c, la part d’Apple est de 4c (environ 30c il y a un an), l’artiste lui-même touche 8c (10c il y a un an) et le reste, moins quelques frais minimes déduits, va dans la poche des labels.
En fait, par rapport à la vente d’un CD, un label voit son bénéfice doubler sur un morceau, car il n’engage aucun frais de support ou de publicité pour un morceau vendu en ligne. La marge du créateur du magasin en ligne est à ce point faible que des analystes estiment que plusieurs couleront dans les années à venir si les labels continuent à prendre une part aussi importante.
L’auteur de la news sur CDFreaks se demande d’ailleurs comment les labels peuvent espérer, d’une part voir les utilisateurs des réseaux P2P changer leurs habitudes pour des réseaux payants et d’autre part souhaiter que les réseaux payants deviennent plus attractifs en affichant des prix compétitifs.
@+ Socar
l'erreur est humaine mais un veritable desastre necessite un ordinateur
Combien de programmeurs Microsoft est-ce que cela prend pour changer une ampoule électrique?
Aucun : Si l'ampoule est grillée, Microsoft déclare l'obscurité comme nouveau standard.
mdr . La vente en ligne n'est qu'un réseau commercial de plus , pas un moyen de lutter contre le piratage . Les clients ne sont pas les passionnés qui préfèrent les CD, encore moins les hardcore leechers pour qui le P2P ne représente que 5% de leurs sources; non, les clients de iTunes sont les types qui ont acheté le pack PC + ADSL + Kazaa au supermarché croyant que la musique était gratuite et qui maintenant ont peur de se faire prendre. Mdr.