Publié : 16 janv. 2008 19:42
HAHA tg le 'PLEBE' OUI je sais ce que sa veut dire mais sa te fait tellement chier quand je le dis 

Cf la charteYoyomane a écrit : Avec ton opignon magistrale
mdr, quel gros kiff...Artatak a écrit :BBZ c'est le problème quand les gens te croient encore plus bêtes que tu n'es !
Merci pour ton aide on en avait besoin, dans le sud on est vraiment teubez (vous teubez, ils teubent)omg
appel téléphonique
je m'appelle gniagniagnia .. -_-
Ou alors t'es trop stupide pour voir que lorsque je parlais d'auteur illustre et méritant je ne parlais CERTES pas de toi.Nean a écrit :Je ne pense pas avoir dépassé ma propre pensée dans cette analyse, mais bon... si tu penses que l'auteur n'a pas pensé à ce qu'il a mit dans son commentaire, tu dois peut-être être assez stupide...
uhuh la meme, le tout est de trouver une explication potable par la suiteHorg a écrit :L'art n'est pas pensée.
Pour moi, l'écrit est un moyen de commnication avant d'être un art ! A une époque, certains se sont employés à faire une littéraure sans engagement, uniquement pour la beauté... sujets antiques pour éviter l'engagement, ériphrase infinies pour éviter les mots simples trop peu "artistiques"... bref, de la littérature sans intéret, qui n'a pas fait long feu. Dans tout texte, il y a des caractères, des mots, des phrases, et ils ne sont pas là pour être jolis : ils ont un sens. Sinon, on peut dire que "aeszjk dopvns cdùpj jkcv qsdùopj", c'est un texte... ridicule non ?Horg a écrit :L'art n'est pas pensée, il est ressenti. J'ai un mépris profond pour tout ceux qui tentent de l'analyser. Autant dire que j'ai toujours était très copain avec mes profs de fraçais...
Maintenant, saches que Voltaire place cette prière dans un traité sur la tolérance. Saches aussi que Voltaire est déiste. Déiste, ça veut dire qu'il pense qu'il existe un dieu, mais que celui-ci n'interfère pas dans la vie personnelle de ses créatures. Il se contente de faire en sorte que la terre continue de tourner rond,Ce n’est donc plus aux hommes que je m’adresse ; c’est à toi, Dieu de tous les êtres, de tous les mondes et de tous les temps : s’il est permis à de faibles créatures perdues dans l’immensité, et imperceptibles au reste de l’univers, d’oser te demander quelque chose, à toi qui a tout donné, à toi dont les décrets sont immuables comme éternels, daigne regarder en pitié les erreurs attachées à notre nature ; que ces erreurs ne fassent point nos calamités. Tu ne nous as point donné un cœur pour nous haïr, et des mains pour nous égorger ; fais que nous nous aidions mutuellement à supporter le fardeau d’une vie pénible et passagère ; que les petites différences entre les vêtements qui couvrent nos débiles corps, entre tous nos langages insuffisants, entre tous nos usages ridicules, entre toutes nos lois imparfaites, entre toutes nos opinions insensées, entre toutes nos conditions si disproportionnées à tes yeux, et si égales devant toi ; que toutes ces petites nuances qui distinguent les atomes appelés hommes ne soient pas des signaux de haine et de persécution ; que ceux qui allument des cierges en plein midi pour te célébrer supporte ceux qui se contentent de la lumière de ton soleil ; que ceux qui couvrent leur robe d’une toile blanche pour dire qu’il faut t’aimer ne détestent pas ceux qui disent la même chose sous un manteau de laine noire ; qu’il soit égal de t’adorer dans un jargon formé d’une ancienne langue, ou dans un jargon plus nouveau ; que ceux dont l’habit est teint en rouge ou en violet, qui dominent sur une petite parcelle d’un petit tas de boue de ce monde, et qui possèdent quelques fragments arrondis d’un certain métal, jouissent sans orgueil de ce qu’ils appellent grandeur et richesse, et que les autres les voient sans envie : car tu sais qu’il n’y a dans ces vanités ni envier, ni de quoi s’enorgueillir.
Puissent tous les hommes se souvenir qu’ils sont frères ! Qu’ils aient en horreur la tyrannie exercée sur les âmes, comme ils ont en exécration le brigandage qui ravit par la force le fruit du travail et de l’industrie paisible ! Si les fléaux de la guerre sont inévitables, ne nous haïssons pas, ne nous déchirons pas les uns les autres dans le sein de la paix, et employons l’instant de notre existence à bénir également en mille langages divers, depuis Siam jusqu'à la Californie, ta bonté qui nous a donné cet instant.
Cette croyance assez répedue à son époque entraine une abscence de rites. Si tu réfléchis bien maintenant, on a une prière de quelqu'un dont les convictions proscrivent les prières, dans un traité sur la tolérance. Forcément, si tu te contentes de la regarder comme une prière après ces informations, tu es un parfait imbécile. On peut voir que dans la prière, la présence de Dieu s'estompe : il ne reste plus que ce qu'il a donné et les hommes par rapport à cela. On en revient donc aux théories déistes. Donc, la première phrase est forcément une antiphrase, d'autant quelle ne ressemble pas à un début de prière, puisque Voltaire ne s'interesse visiblement pas dans tout ce qui est "s'adresser à dieu".Un déiste a écrit :comme un horloger qui va faire en sorte que les mécanismes fonctionnent sans s'occuper des aiguilles et de ce qu'elles affichent
bien dit !Niateph a écrit :Et après je me suis aperçu que les meufs s'en tappaient grave des longues réflexions surfaites et qu'elles préféraient les petites bites bien placées.