L'histoire de Tonk (qui mériterait plus de dentelles) m'en rappelle une à peu près similaire :
Ca se passe chez moi, j'ai 19 ans, et faute de thunes comme d'habitude, on décide de s'organiser une petite soirée tiz. Mon pote ramène des copines à lui et un mec.
Il s'avèra que je connaissais la grande soeur d'une des filles, et que la petite n'avait rien à lui envier

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Donc la soirée se presente pas mal, on en est à l'apéro, l'ami de mon pote arrive facilement à nous montrer que, parmi les bofs, c'est lui le roi :
" Moi !!! L'alcool j'ai pas de limite, je bois jusqu'au coma, je vous retourne tous et tatata et tatata..."
L'apéro se déroule très bien, on aborde tout les sujets stériles possibles, histoires de passer le temps en attendant que l'alcool desinhibe ces jeunes filles.
Jaugeant rapidement la température juste assez tiède, je decide de concentrer tout le monde sur un jeu sympa qui contribuera à ma cause, le "Trivial pour Cuite"

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A peine installé sur la table, notre jeune bof en puissance semble avoir atteint sa limite inatteignable (2 malibus (sérieux)) et se pose tranquillement la tête entre les bras pour reflechir à la meilleure stratégie à adopter

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Ne voulant pas déranger ce fin stratège en pleine reflexion et vu que les filles étaient que 2, nous decidames avec mon pote que nous nous passerions de ses conseils.
L'ambiance est bonne, echanges de sourires, de bonnes blagues et de vannes à notre nouveau macchabée, nous nous amusons gaiement tous ensemble. Je lance le dé, tu lances le dé, tu réponds comme une grosse gourde, ambiance bon enfant quoi.
Quand tout d'un coup, alors que je venais de récupérer le camenbert bleu, un tsunami de gerbe submergea le plateau de jeu, délogeant les camenberts et laissant le dé tel une île déserte sur un océan de pâtes/saucisses herta.
Après ce premier choc, tous les survivants s'empresserent de limiter les dommages collatéraux de l'inondation.
Pour ma part, je me permis de raccompagner aimablement l'auteur de l'incident par le moyen opportun : le coup de pied au cul.
Pris par un élan de créativité, cet enfoiré recouvert de gerbe prend la peine d'ajouter une nouvelle fresque sur les murs délimitant le long pélerinage jusqu'aux toilettes où je le conduisais délicatement.
Aux côtés de sa nouvelle muse la cuvette, notre artiste en batiment trouva encore quelques ressources pour dessiner quelques croquis sur les papiers peints les plus proches. Puis il sombra dans une transe spirituelle propre à sa condition.
Nous nous permîment de profiter de son anésthésie partielle pour le rémunerer gratieusement de ses efforts à coup claques thérapeutiques.
Soirée gachée, meufs un peu refroidies par l'odeur du site, moi à moitié pété en train de programmer la machine pour la nappe, mon pote pété aussi et confus de l'attitude de l'autre abruti. Vive La fête !!!
Meuh,