Les éditeurs de musique sont prêts à tout pour préserver leurs intérêts...
Y compris ...le recours à des méthodes de crapules :
Un album CD des Beasty Boys édité par Capitol comporterait un autorun
ayant pour fonction première d’injecter un EXE sur le poste de l’acheteur.
En théorie, ce programme serait placé là pour interdire les copies illégales.
D’un point de vue purement technique, il s’agit d’un programme installé
sans le consentement de l’usager, d’un troyen , d’un virus, d’un spyware «
actif », bref, quelque soit le nom que l’on donne à cette chose, d’une
indélicatesse qui relève du droit commun.
Ce genre de pratique est hélas très peu surprenant de la part d’un
représentant d’une profession qui tente de faire passer la culture comme
un produit « industriel ».
Marc Olanié (CSO)
scott
UNE "MAJOR" EST SOUPCONNEE DE PIRATAGE
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