Connaissez-vous le dernier cheval de bataille de la RIAA ?
C’est un petit logiciel du nom de Audio Xtract, qui permet d’enregistrer le flux audio en provenance de radios internet.
Est-ce illégal ? Absolument pas, puisque cette utilisation entre dans le contexte de la copie privée, au même titre que l’enregistrement d’une radio classique sur K7, ou d’une émission télé sur VHS. Bien évidemment, ce qui ne plaît pas à la RIAA, c’est qu’elle ne contrôle pas cet enregistrement, et surtout qu’elle n’en perçoit pas l’ombre d’un dollar.
Alors, et l’histoire se répète, plutôt que de suivre la mouvance et d’apporter quelque chose de nouveau ou bien de s’adapter, et bien ils essayent d’empêcher les utilisateurs d’utiliser tous ces moyens d’utiliser la musique en ligne, tant qu’elle ne vient pas de Microsoft, d’Apple, de Real ou de Sony…ce qui produit deux choses : l’érosion permanente des droits des consommateurs et la prise en otage de l’industrie de la musique et du disque par une entité suffisamment puissante politiquement pour demander la création de lois spécifiques qui protégeraient ses intérêts en danger.
Gene Schenberg, Vice président commercial de Jambalaya Brands, la société éditrice de Audio Xtract, déclare : « pour beaucoup de consommateurs, cela ne veut dire qu’une seule chose : prenez-le tant que vous pouvez ».
Peut-être un jour verrons-nous la RIAA faire autre chose que lancer des procès à tout va et essayer de capter le mouvement pour le suivre et proposer des solutions basées sur les nouvelles technologies.
sont pas pas content les gens du RIAA
Modérateurs : Team Admin, Team Info
sont pas pas content les gens du RIAA
l'erreur est humaine mais un veritable desastre necessite un ordinateur
Combien de programmeurs Microsoft est-ce que cela prend pour changer une ampoule électrique?
Aucun : Si l'ampoule est grillée, Microsoft déclare l'obscurité comme nouveau standard.

Combien de programmeurs Microsoft est-ce que cela prend pour changer une ampoule électrique?
Aucun : Si l'ampoule est grillée, Microsoft déclare l'obscurité comme nouveau standard.
